Tout public dès 10 ans
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Comment transformer le chaos du monde ? Dans quelle mesure la violence de l’oppression résonne-t-elle dans notre corps individuel ? Comment l’ambivalence de nos choix révèle-t-elle notre rapport à la liberté ?
J’habite une blessure sacrée slalome entre déséquilibre et enracinement, douceur et force, intimité et ouverture. Ce solo est conçu comme un dialogue intérieur naviguant entre deux nécessités qui s’entrecroisent : la quête métaphysique et la lutte émancipatrice.

Revue de presse

> Gérald Rossi, L’humanité – 6 juillet 2018
« Des gestes aussi bien millimétrés que les projections qui parviennent à donner une profondeur d’image en 3D à l’ensemble, notamment quand le corps se démultiplie sur la scène et sur les écrans entrainant le spectateur dans un univers qui restera jusqu’au final gravé dans les incertitudes de l’homme « 
> Rosita Boisseau, Telerama, juillet 2018
« Sa technique fait feu de tout bois : les traditions guadeloupéennes, la danse africaine et contemporaine, le jazz. (…) Avec toujours cet enracinement dans le gwoka guadeloupéen, danse, musique et art de vivre, comme il aime à le dire, à base de percussions et de chants, hérité de l’esclavage. À découvrir. »
> Amélie Blaustein Niddam, Toute la culture.com – 4 juillet 2019
« L’extrême mobilité du danseur nous met dans une transe qui décale ce que l’on voit et ce que l’on ressent. Tout le propos est ici entre beauté et horreur. Le titre de la pièce est tirée d’un poème d’Aimé Cesaire. La strophe suivante dit « J’habite des ancêtres imaginaires », c’est exactement ce que Max Diakok réussit à provoquer. »
> Bénédicte Gattère, Toute la culture.com, novembre 2018
« Ici, la mémoire est corps et la danse, le lieu de l’incarnation. Le corps n’est plus seulement vecteur d’un rythme, d’une histoire, d’identités plurielles et recomposées au gré des gestuelles, il est le pivot d’une réflexion en mouvement. »