L’artiste installe un bureau de vote. Toute une journée, elle invite les habitant·e·s viennent élire leur mot préféré. Absolument, tout le monde peut voter, les petits comme les grands, les vivants comme les morts. Seul compte le papier qui se glisse dans l’urne, le temps avec soi-même dans l’isoloir, et la poésie qui nait de la rencontre dans l’instant présent.